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En 1048, il existait pas moins de huit églises réparties en ville et en périphérie ainsi qu’au moins trois cimetières.
Plusieurs aumôneries et maladreries (lépreux) étaient placés à l’extérieur de la ville (afin d’éviter les épidémies), dans le but d’accueillir les étrangers, les pèlerins en halte et les malades.
Au Moyen-Age, il existait également deux couvents, les Jacobins et les Cordeliers.
La plupart de ces bâtiments disparurent en 1568, lors des guerres de religion, où ils furent incendiés et pillés puis détruits.
Certains furent reconstruits, comme l’église abbatiale en 1608, les couvents des Jacobins, des Capucins et celui des Ursulines au début du 17e siècle. Mais la Révolution française, et surtout la Constitution civile du clergé, qui a pour but de réformer l’Église, qui n’a plus de fonds propres, en en faisant une administration financée et régie par l’État, a eu raison de ces monuments religieux, faisant des curés et des évêques des foctionnaires.
Au 19e siècle, deux abbayes s’implantent dans la ville : les sœurs de la Miséricorde dans la rue Coybo, qui fondent une école supérieure de jeunes filles et l’abbaye « Notre-Dame des Anges » qui s’établit dans un ancien logis, le logis de Bessé. Le couvent des Bénédictines est créé. Après le départ des sœurs, l’abbaye et la chapelle sont devenues des lieux culturels qui accueillent de nombreuses expositions notamment d’artistes locaux.
Dates et horaires d'ouverture
Du 01/01 au 31/12 tous les jours.
Tarifs
GRATUIT